Ô combien pure est ta lumière, Splendide promesse fière que tu fais à ma prière, Source de sage Clarté ! Ô dissipe ma tristesse Révèle-nous nos richesses : Les joyaux d'or de la Sagesse - O how pure is your light, Splendid proud promise that you make to my prayer, Source of wise Clarity! O dispel my sadness Reveal to us our riches: The golden jewels of Wisdom

Le soleil de l'aube initiale, à Héliopolis (mythe égyptien) Atoum dit : " J'étais solitaire dans le Noun et inerte. Je ne trouvais pas d'endroit où je puisse me tenir debout, je ne trouvais pas de lieu où je puisse m'asseoir. La ville d'Héliopolis, où (dans l'avenir) je devais résider n'était pas encore fondée, le trône sur lequel je devais m'asseoir n'était pas encore formé, je n'avais pas encore créé Nout au-dessus de moi. La première corporation (de dieux) n'avait pas encore été mise au monde, l'Ennéade des dieux primordiaux n'existait pas, ils étaient encore avec moi ". Atoum dit alors à Nouou : " Je flottais, absolument inerte, les pât étaient sans mouvement. C'est mon fils, Vie, qui m'a rendu conscient et qui a fait vivre mon cœur, après qu'il eut réuni mes membres jusqu'alors immobiles ". Nouou dit à Atoum : " Respire ta fille Maât (la Vérité de la Justice), élève-la jusqu'à ton nez afin que ton cœur vive. Que ta fille Maât et ton fils Shou dont le nom est aussi Vie, ne s'écartent pas de toi ". " Je suis Nouou, l'Unique, le Sans-pareil… J'ai amené mon corps à l'existence grâce à mon pouvoir magique. Je me suis créé moi-même ; je me suis constitué ainsi que je le souhaitais, selon mon désir ". … le Nouou qui porte Atoum, et dont l'étendue est celle du ciel et la largeur celle de la terre. " Je suis l'Eternel, je suis Rê qui est sorti du Nouou… Je suis le maître de la lumière ". Le ciel est gros de Rê ; quand Nout va le mettre au monde. Les mains s'élèvent, une suite l'entoure… le seigneur de l'horizon, Rê, l'éternel. Il s'élève hors du Nouou, la Lumineuse l'entoure. Son Ennéade se brûle autour de lui, sa puissance effraie les divinités qui sont venues à l'existence après lui. Ses millions de ka sont dans sa bouche, car il est la magie, celui qui est né de lui-même ; quand ils le voient, les dieux sont en liesse, ils vivent de sa sueur parfumée ; il est celui qui a créé les montagnes et formé le ciel. " Atoum t'a craché de sa bouche, en ce tien nom de Shou. " " Atoum… tu as craché Shou et tu as expectoré Tefnout. " " Ton crachat et ta salive, c'est-à-dire Shou et Tefnout. " Atoum, une fois parvenu à l'existence, se livra à la masturbation en Heliopolis. Il plaça son phallus dans son poing et, ainsi, se créa du plaisir. Alors naquirent deux jumeaux : Shou en même temps que Tefnout. Atoum dit : " Tefnout, Celle qui est la vie, est ma fille ; elle est avec son frère Shou, appelé aussi Celui qui est la vie ; Maât est également son nom à elle. Je vis avec mes deux enfants, je vis avec mes deux oisillons ; je suis au milieu d'eux, l'un étant derrière moi, l'autre devant moi. Je me suis dressé au-dessus d'eux, tandis que leurs bras m'entouraient ". Shou est le temps éternel et Tefnout le temps infini.

Le soleil de l'aube initiale, à Héliopolis (mythe égyptien) Atoum dit : " J'étais solitaire dans le Noun et inerte. Je ne trouvais pas d'endroit où je puisse me tenir debout, je ne trouvais pas de lieu où je puisse m'asseoir. La ville d'Héliopolis, où (dans l'avenir) je devais résider n'était pas encore fondée, le trône sur lequel je devais m'asseoir n'était pas encore formé, je n'avais pas encore créé Nout au-dessus de moi. La première corporation (de dieux) n'avait pas encore été mise au monde, l'Ennéade des dieux primordiaux n'existait pas, ils étaient encore avec moi ". Atoum dit alors à Nouou : " Je flottais, absolument inerte, les pât étaient sans mouvement. C'est mon fils, Vie, qui m'a rendu conscient et qui a fait vivre mon cœur, après qu'il eut réuni mes membres jusqu'alors immobiles ". Nouou dit à Atoum : " Respire ta fille Maât (la Vérité de la Justice), élève-la jusqu'à ton nez afin que ton cœur vive. Que ta fille Maât et ton fils Shou dont le nom est aussi Vie, ne s'écartent pas de toi ". " Je suis Nouou, l'Unique, le Sans-pareil… J'ai amené mon corps à l'existence grâce à mon pouvoir magique. Je me suis créé moi-même ; je me suis constitué ainsi que je le souhaitais, selon mon désir ". … le Nouou qui porte Atoum, et dont l'étendue est celle du ciel et la largeur celle de la terre. " Je suis l'Eternel, je suis Rê qui est sorti du Nouou… Je suis le maître de la lumière ". Le ciel est gros de Rê ; quand Nout va le mettre au monde. Les mains s'élèvent, une suite l'entoure… le seigneur de l'horizon, Rê, l'éternel. Il s'élève hors du Nouou, la Lumineuse l'entoure. Son Ennéade se brûle autour de lui, sa puissance effraie les divinités qui sont venues à l'existence après lui. Ses millions de ka sont dans sa bouche, car il est la magie, celui qui est né de lui-même ; quand ils le voient, les dieux sont en liesse, ils vivent de sa sueur parfumée ; il est celui qui a créé les montagnes et formé le ciel. " Atoum t'a craché de sa bouche, en ce tien nom de Shou. " " Atoum… tu as craché Shou et tu as expectoré Tefnout. " " Ton crachat et ta salive, c'est-à-dire Shou et Tefnout. " Atoum, une fois parvenu à l'existence, se livra à la masturbation en Heliopolis. Il plaça son phallus dans son poing et, ainsi, se créa du plaisir. Alors naquirent deux jumeaux : Shou en même temps que Tefnout. Atoum dit : " Tefnout, Celle qui est la vie, est ma fille ; elle est avec son frère Shou, appelé aussi Celui qui est la vie ; Maât est également son nom à elle. Je vis avec mes deux enfants, je vis avec mes deux oisillons ; je suis au milieu d'eux, l'un étant derrière moi, l'autre devant moi. Je me suis dressé au-dessus d'eux, tandis que leurs bras m'entouraient ". Shou est le temps éternel et Tefnout le temps infini. Le soleil de l'aube initiale, à Héliopolis (mythe égyptien)    Atoum dit : " J'étais solitaire dans le Noun et inerte. Je ne trouvais pas d'endroit où je puisse me tenir debout, je ne trouvais pas de lieu où je puisse m'asseoir.   La ville d'Héliopolis, où (dans l'avenir) je devais résider n'était pas encore fondée, le trône sur lequel je devais m'asseoir n'était pas encore formé, je n'avais pas encore créé Nout au-dessus de moi.   La première corporation (de dieux) n'avait pas encore été mise au monde, l'Ennéade des dieux primordiaux n'existait pas, ils étaient encore avec moi ". Atoum dit alors à Nouou :   " Je flottais, absolument inerte, les pât étaient sans mouvement. C'est mon fils, Vie, qui m'a rendu conscient et qui a fait vivre mon cœur, après qu'il eut réuni mes membres jusqu'alors immobiles ". Nouou dit à Atoum :   " Respire ta fille Maât (la Vérité de la Justice), élève-la jusqu'à ton nez afin que ton cœur vive. Que ta fille Maât et ton fils Shou dont le nom est aussi Vie, ne s'écartent pas de toi ".  " Je suis Nouou, l'Unique, le Sans-pareil… J'ai amené mon corps à l'existence grâce à mon pouvoir magique. Je me suis créé moi-même ; je me suis constitué ainsi que je le souhaitais, selon mon désir ".  … le Nouou qui porte Atoum, et dont l'étendue est celle du ciel et la largeur celle de la terre.  " Je suis l'Eternel, je suis Rê qui est sorti du Nouou… Je suis le maître de la lumière ".       Le ciel est gros de Rê ; quand Nout va le mettre au monde. Les mains s'élèvent, une suite l'entoure… le seigneur de l'horizon, Rê, l'éternel. Il s'élève hors du Nouou, la Lumineuse l'entoure. Son Ennéade se brûle autour de lui, sa puissance effraie les divinités qui sont venues à l'existence après lui.   Ses millions de ka sont dans sa bouche, car il est la magie, celui qui est né de lui-même ; quand ils le voient, les dieux sont en liesse, ils vivent de sa sueur parfumée ; il est celui qui a créé les montagnes et formé le ciel.  " Atoum t'a craché de sa bouche, en ce tien nom de Shou. "  " Atoum… tu as craché Shou et tu as expectoré Tefnout. "  " Ton crachat et ta salive, c'est-à-dire Shou et Tefnout. "  Atoum, une fois parvenu à l'existence, se livra à la masturbation en Heliopolis. Il plaça son phallus dans son poing et, ainsi, se créa du plaisir. Alors naquirent deux jumeaux : Shou en même temps que Tefnout.  Atoum dit : " Tefnout, Celle qui est la vie, est ma fille ; elle est avec son frère Shou, appelé aussi Celui qui est la vie ; Maât est également son nom à elle. Je vis avec mes deux enfants, je vis avec mes deux oisillons ; je suis au milieu d'eux, l'un étant derrière moi, l'autre devant moi. Je me suis dressé au-dessus d'eux, tandis que leurs bras m'entouraient ".  Shou est le temps éternel et Tefnout le temps infini. Reviewed by Loordylord on August 22, 2025 Rating: 5

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