Du char de Merkabah, les roues d’or scintillent,
Traçant des sentiers invisibles où les âmes brillent.
Au-delà du firmament, où les luminaires sont rois,
Tu es, Dieu le Seigneur Sage, unique en tes lois.
Créé avec perspicacité, chaque atome est à sa place,
L'univers entier respire par ta divine grâce.
La sagesse première, source de toute clarté,
Tout fut conçu avec intuition, par Ta seule volonté.
Sous le soleil chaud, à la pleine chaleur du jour,
Abraham dressait sa tente, quêtant ton amour.
Dans le ciel d’été, un signe fut donné,
Que l'Unique est sans pair, de toute éternité.
Zoroastre murmura le triple appel sacré :
La bonne pensée, la bonne parole, la bonne action à jamais ancrées.
Yeshua révéla l'amour au-delà du jugement,
Deux chemins vers l'Un, dans le même dévouement.
Les luminaires sont bons, ils les as dotés de lumière éclatante,
Qui se mire dans la rivière azure, pure et éclatante.
Sur le fond du ciel, scintille le ciel étoilé,
Comme un éclat profond d’un rubis rouge révélé.
Tu es l’Alpha, l’Oméga, la Substance et le Sens,
L’Unique Puissance qui jamais ne prend de licence.
Dans ta sublime Unité, toute chose est contenue,
Gloire à Toi, Seigneur, l’Absolu, l’Inconnu.
Poème "Seigneur l'inconnu" - Laurence
Reviewed by Laurence G.G.K
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October 27, 2025
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